aboya
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Sentences with the word aboya
Il grandit vite, devint larron et aboya de toutes ses forces.Paul Margueritte (1860-1918)
Un coup retentit : le chien aboya.Nicolaas Beets (1814-1903), traduction Léon Wocquier (1821-1864)
Puis ils passèrent sous une galerie que recouvraient des feuillages ; un troupeau de chiens aboya.Gustave Flaubert (1821-1880)
Top, en ce moment, aboya d'une façon étrange...Jules Verne (1828-1905)
Il gifla bonne à rien et aboya la mère qu'à huit ans c'est une honte de n'avoir aucun don.Lignes, 2001, Chloé Delaume (Cairn.info)
Le chien aboya, se sauva, se retourna en gambadant pour revenir, et rentra.Edmond de Goncourt (1822-1896) et Jules de Goncourt (1830-1870)
Je les regardais tranquillement, lorsqu'un des chiens m'aperçut, aboya d'un air menaçant, et courut vers moi ; son compagnon le suivit.Comtesse de Ségur (1799-1874)
Il se dressa, aboya joyeusement et s'élança vers elle.Émile Gaboriau (1832-1873)
L'enfant courut vers sa mère, et le chien, soudain furieux, vint en trois bonds jusqu'au saut-de-loup, et aboya longuement après le sinistre voyageur.François Coppée (1842-1908)
Mais ce bout de chien n'avait du chacal que la ressemblance physique : il avait le courage de ses opinions, et il aboya franchement son aversion pour de tels oripeaux.Raymond Auzias-Turenne (1861-1940)
En entendant frapper, un chien aboya, et l'harmonie canine qui les avait salués à leur arrivée recommença de plus belle.Alexis Bouvier (1836-1892)
Le chien de garde aboya d'un ton de fureur.Honoré de Balzac (1799-1850)
Scipion bondit, aboya, se précipita dans les massifs, les fouilla pour savoir sur quel gibier le docteur avait tiré.Alexandre Dumas (père) (1802-1870)
Le chien bondit comme un lion, aboya furieusement et s'élança dans le jardin si rapidement, que le général ne put le suivre.Honoré de Balzac (1799-1850)
Spy tourna vers moi ses yeux ronds, bêtes et cruels, à fleur de tête, et aboya hargneusement.Octave Mirbeau (1848-1917)
Le chien, voyant son geste, aboya de plaisir.Maurice Level (1875-1926)
La meute aboya, les chevaux reniflèrent et les arbres frissonnèrent comme par un grand vent.Victor Hugo (1802-1885)
Un chien aboya comme ils passaient et dans le lointain cria quelque mouette errante.Oscar Wilde (1854-1900), traduction Albert Savine (1859-1927)
Un chien de garde aboya, les suivant le long du mur intérieur, tandis qu'eux côtoyaient la paroi extérieure.Alexandre Dumas (père) (1802-1870)
Caton aboya une seconde fois et prit le galop.Raymond Auzias-Turenne (1861-1940)
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