ferrant
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Sentences with the word ferrant
Mais au-dessus de tous, le maréchal ferrant est bon comme un grand-père.Charles-Louis Philippe (1874-1909)
En plusieurs pays, la boutique du maréchal ferrant a comme enseigne des trophées de fers, des fers à cheval ou des tenailles imprimées sur la devanture.Paul Sébillot (1843-1918)
J'ai représenté, avec douceur, que je ne méritois pas le traitement qu'on m'avoit fait ; & je suis un petit-fils de charbonnier & de maréchal ferrant.Robert Estienne (1723-1794)
A quelque distance de la ville, je me suis assis près d'une jolie petite maison, qu'éclairait mollement la forge d'un maréchal ferrant allumée de l'autre côté de la route.Victor Hugo (1802-1885)
Comment trouver un vétérinaire ou un maréchal ferrant compétent et disponible, par exemple ?Marché et organisations, 2016, Hélène Perrin Boulonne (Cairn.info)
Le maréchal ferrant se mit à l'ouvrage.Jules Verne (1828-1905)
Je suis le voisin du charron, du tonnelier et du maréchal ferrant.Charles-Louis Philippe (1874-1909)
Le maréchal ferrant insiste sur la forte personnification du rapport avec la clientèle qui exige que le maréchal et non son apprenti ferre l'équidé.Revue de l'Entrepreneuriat, 2021, Laurène Picquenard, Grégory Reyes (Cairn.info)
Puis le maréchal ferrant réclama son salaire, et s'en alla sans avoir prononcé quatre paroles.Jules Verne (1828-1905)
Un homme ferrant un cheval.Edmond de Goncourt (1822-1896)
Pourquoi aurait-il dit que le maréchal ferrant lui avait confirmé les paroles du spectre ?Adolphe Retté (1863-1930)
Le maréchal ferrant avait eu soin d'apporter des fers tout préparés.Jules Verne (1828-1905)
Jean est maréchal ferrant, fort honnête homme, mais qu'on entend souvent déclamer contre la propriété.Frédéric Bastiat (1801-1850)
Le jour suivant, en ferrant le cheval, on découvrit la fraude, car on m'avait garanti que l'animal était sans défauts.George Gordon Byron (1788-1824), traduction Paulin Paris (1800-1881)
Celui-ci fit appeler un maréchal ferrant qui me mit les fers aux pieds en les rivant à froid.Alexandre Pouchkine (1799-1837), traduction Louis Viardot (1800-1883)
Obstinément, la jeune fille ne sort de ses longues prostrations que pour fredonner d'une voix très douce, presque éteinte, le fatidique couplet du maréchal ferrant.Georges Eekhoud (1854-1927)
Jusque-là, je ne me sépare pas de mon maréchal ferrant : je l'aime !Mademoiselle George (1787-1867)
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