grande mélancolie
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Sentences with the word grande mélancolie
Car une grande mélancolie était dans vos yeux profonds et d'un vert changeant comme celui de la mer.Armand Silvestre (1837-1901)
J'ai commencé à mourir depuis longtemps ; l'horizon est assombri ; mon cœur est une grande mélancolie glacée : il me semble que je ne change plus.Auguste de Villiers de L'Isle-Adam (1838-1889)
Veuillez m'excuser et compatir au chagrin qui m'accable, car je suis atteint d'une grande mélancolie.Antoine Dumesnil (1805-1891)
La jeune fille ne pleurait point, mais sur son visage se lisait sans peine l'expression d'une grande mélancolie et d'une douce résignation.Claudius Ferrand (1868-1930)
Ces deux symptômes sont la grande poésie et la grande mélancolie de ses œuvres.Alphonse de Lamartine (1790-1869)
Puis, les vapeurs d'incendie se dissipèrent, le couchant finit par s'éteindre, dans une grande mélancolie farouche.Émile Zola (1840-1902)
Il y développe un épisode de grande mélancolie.Devenir, 2019, Yvon Gauthier (Cairn.info)
Tout à coup, il devint pensif et son visage prit une expression de grand recueillement et de grande mélancolie.Alexandre Dumas (père) (1802-1870)
La pauvre enfant était tombée dans une grande mélancolie.Octave Féré (1815-1875)
Cela n'empêche pas ses gaies reparties de se faire jour ; mais on sent qu'il y a là-dessous la grande mélancolie des veilles de bataille.Paul Féval (1816-1887)
Je n'ai jamais senti plus grande mélancolie intellectuelle qu'à cette mensongère cérémonie.Jules Lemaître (1853-1914)
C'est avec de l'inquiétude et une grande mélancolie que j'entreprends ce chapitre du livre.Pierre Loti (1850-1923)
Cette cultivatrice de 27 ans vient d'accoucher et présente depuis cet événement, selon le médecin de famille, une grande mélancolie et un mutisme quasi-total.Droit, Santé et Société, 2017, Hervé Guillemain (Cairn.info)
Ses derniers jours se passèrent dans une grande mélancolie.Jules Michelet (1798-1874)
J'eus une forte maladie, une horrible jaunisse ; une grande mélancolie s'empara de moi ; mais les soins touchants de ma mère, les sages conseils de mon père, me rendirent à moi-même.Auguste Frédéric Louis Viesse de Marmont (1774-1852)
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