hurlement affreux
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Sentences with the word hurlement affreux
Je me livrais à ces tristes réflexions, lorsque j'entendis des hurlements affreux.Gustave de Beaumont (1802-1866)
Au bout d'un moment, des hurlements affreux se font entendre.Marquise de La Tour du Pin Gouvernet (1770-1853)
Épouvanté, quoiqu'il n'eût pas grand mal, il s'assit à terre en poussant des cris et des hurlements affreux.Daniel Defoe (1661-1731), traduction Petrus Borel (1809-1859)
La vieille, dans son effroi, se mit à pousser des hurlements affreux, se jeta sur sa couche et s'y blottit comme un chien dans son chenil, sans cesser de hurler.Eugène Sue (1804-1857)
De la chambre arrivèrent enfin jusqu'à lui non plus des gémissements, mais des hurlements affreux, inexprimables, impossibles.Fedor Dostoïevski (1821-1881), traduction Victor Derély (1840-1890)
On y entendait des hurlements affreux.Eugène Muller (1826-1913)
Aussitôt on entendit des hurlements affreux.Emmanuel Cosquin (1841-1919)
Les cris perçants des femmes et les hurlements affreux des guerriers ajoutaient encore à l'effet de ce spectacle.James Fenimore Cooper (1789-1851), traduction Auguste-Jean-Baptiste Defauconpret (1767-1843)
Les sauvages proféraient des hurlements affreux, auxquels se mêlaient, en assourdissante cacophonie, les mugissements d'un taureau.Henri-Émile Chevalier (1828-1879)
J'entre dans la cour, soudain des hurlements affreux se font entendre, des cris : à bas les mouchards !Eugène-François Vidocq (1775-1857)
Ces malheureux poussaient des hurlements affreux, qui remuaient profondément cette population elle-même, déjà si affectée de ses propres souffrances.Adolphe Thiers (1797-1877)
Milady poussa un hurlement affreux, et fit quelques pas vers ses juges en se traînant sur ses genoux.Alexandre Dumas (père) (1802-1870)
L'animal répondit par un hurlement affreux, fit un soubresaut en arrière et s'élança d'un bond sur le petit homme.Victor Hugo (1802-1885)
Quand elle s'éclipse, ils sortent à la hâte de leurs cabanes, poussent des hurlements affreux, et lancent des flèches en l'air pour épouvanter le chien qui veut la manger.Johann Georg Zimmermann (1728-1795), traduction Xavier Marmier (1809-1892)
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