remontions
Forms
forms of remonter
- imparfait de l'indicatif – 1re personne du pluriel
- présent du subjonctif – 1re personne du pluriel
examples
Sentences with the word remontions
Nous remontions en cet équipage chez notre mère, que nous trouvions le plus souvent plongée dans la lecture.Ernest Daudet (1837-1921)
Nous remontions avec une extrême rapidité.Jules Verne (1828-1905)
Ce fut une marche triomphale tout le long du fleuve que nous remontions.George Sand (1804-1876)
Il faut que nous remontions plus haut, et que nous le suivions de midi jusqu'à minuit.Jules Michelet (1798-1874)
Nous avions bu un verre ensemble et nous remontions chacun vers notre chambre par l'ascenseur.Guerres mondiales et conflits contemporains, 2011, Hans Heisel (Cairn.info)
Je vas chauffer le récit, pour que vous ayez encore le temps d'aller manger avant que nous remontions à nos dortoirs.Eugène Sue (1804-1857)
Nous remontions les marches conduisant du potager à l'allée couverte.René Boylesve (1867-1926)
Et si nous remontions plus en amont, c'est à un fantasme de fusion mythique avec un objet primaire que nous ramènerait l'idéal.Cahiers de psychologie clinique, 2011, Luc Vanden Driessche (Cairn.info)
Elle tient à ce que nous remontions aux débuts de ce qui est devenu un parcours de combattante.Ballast, 2020, Rémi Larue (Cairn.info)
Nous remontions chez nous, le jeudi matin.Charles-Louis Philippe (1874-1909)
Pour la consoler, il voulait que nous remontions en selle.Émile Zola (1840-1902)
C'est comme si nous remontions à l'âge primitif.Europarl
La journée finie, elle venait au-devant de moi, et nous remontions tout doucement l'avenue.Marguerite Audoux (1863-1937)
Il devenait évident que nous remontions l'échelle de la vie animale dont l'homme occupe le sommet.Jules Verne (1828-1905)
Une barque venait nous attendre tout près du jardin, et, sans fatigue, sans poussière, nous remontions doucement le fil de l'eau.Judith Gautier (1845-1917)
À mesure que nous remontions le fleuve, paraissait à l'entour de nous un plus grand nombre d'indigènes qu'attirait le bruit de la vapeur.Gustave de Beaumont (1802-1866)
Dans le baraquement, la nuit, nous nous remontions mutuellement le moral, en essayant d'interpréter ces changements comme le signe de la fin prochaine de nos épreuves et d'une libération imminente.Revue d'Histoire de la Shoah, 2012, Jean-Pierre Ricard (Cairn.info)
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