ton enjoué
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Sentences with the word ton enjoué
Tout en dressant un tableau assez noir, elle souriait et parlait sur un ton enjoué qui contredisait le contenu de ses propos.Revue française de psychanalyse, 2008, Nicolas de Coulon (Cairn.info)
La dame inconnue avait écouté ce récit, débité sur un ton enjoué, avec un intérêt soutenu.Oscar Méténier (1859-1913)
Il lui a pris le bras et s'est mis à se promener avec lui à travers les tombes, tout en le rassurant d'un ton enjoué.Marie Quinton (1854-1933)
Il conserve un ton enjoué pour évoquer les valeurs centrales de son discours, prenant parfois ses interlocuteurs à contre-pied.Autrepart, 2015, Clara Duterme (Cairn.info)
Messieurs, reprend le roi d'un ton enjoué.Jules Verne (1828-1905)
Ce ton enjoué ne permet pas de deviner que le roi avait eu dans l'hospitalière maison, dont il vantait le charme en ces termes, la plus douloureuse des surprises.Ernest Daudet (1837-1921)
Toujours douce et gracieuse, malgré son état grabataire, elle formule des réponses simples habituellement sur un ton enjoué et positif.Horizons stratégiques, 2006, Sébastien Doutreligne (Cairn.info)
La parole est lisse, le discours bienveillant, la visite et les explications se font sur un ton enjoué, mais pas trop.La lettre de l'enfance et de l'adolescence, 2001, Marina Stéphanoff (Cairn.info)
Deux ou trois fois pourtant la curiosité l'emporta sur la crainte, et la mère, d'un ton enjoué, reprocha à son fils de faire le cachottier avec elle.Fedor Dostoïevski (1821-1881), traduction Victor Derély (1840-1890)
Lorsqu'il veut nous dire bonjour, le chat esquisse un petit miaulement au ton enjoué qui s'accompagne souvent d'un câlin.Ça m'intéresse, 27/02/2022, « Pourquoi votre chat miaule-t-il ? »
Cette pratique partagée, en plus de soutenir le ton enjoué des contributions, semble ainsi bien caractéristique d'un fonctionnement communautaire.Réseaux, 2015, Guillaume Carbou (Cairn.info)
Ce ton enjoué, c'était un de ses devoirs professionnels.Daniel Lesueur (1854-1921)
Il disait cela d'un ton enjoué qui devait faire frissonner.Émile Gaboriau (1832-1873)
Les jeunes gens prirent alors des sièges et la conversation continua sur un ton enjoué.Gustave Aimard (1818-1883)
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