haveurs

Il s'était mis à étudier le toit, pendant que les haveurs reprenaient leurs rivelaines.Émile Zola (1840-1902)

C'était la descente de trois heures, encore des hommes que le puits mangeait, et dont les équipes allaient remplacer les marchandages des haveurs, au fond des voies.Émile Zola (1840-1902)

Un ventilateur à bras fonctionnait bien, mais l'aérage s'établissait mal, on retira à trois reprises des haveurs évanouis, que l'asphyxie étranglait.Émile Zola (1840-1902)

Avant de laisser les haveurs retourner à leur chantier d'abattage, l'ingénieur avait décidé que, pendant les cinq premiers jours, tous les hommes exécuteraient certains travaux de consolidation, d'une urgence absolue.Émile Zola (1840-1902)

Un sourd grognement des haveurs accueillit ces paroles.Émile Zola (1840-1902)

Des haveurs, des herscheuses, des galibots les croisaient à chaque instant ; et aucun ne savait, tous criaient, ça devait être un grand malheur.Émile Zola (1840-1902)

Dans la taille, le travail des haveurs avait repris.Émile Zola (1840-1902)

Toutes les vingt minutes, les haveurs se relayaient.Émile Zola (1840-1902)

Les quatre haveurs venaient de s'allonger les uns au-dessus des autres, sur toute la montée du front de taille.Émile Zola (1840-1902)

Les haveurs s'y dérouillaient de la mine avec passion.Émile Zola (1840-1902)