jettes
Formes
formes de jeter
- présent de l'indicatif – 2e personne du singulier
- présent du subjonctif – 2e personne du singulier
exemples
Phrases avec le mot jettes
Tu jettes, me dis-tu, parfois les pinceaux au plafond, lorsque ta forme ne suit pas ton idée.Émile Zola (1840-1902)
Tu es curieuse, et quand tu as surpris les secrets des autres, tu les leur jettes à la figure bien durement, aussitôt que tu as à te plaindre d'eux.George Sand (1804-1876)
Voilà une mystification que nous pourrions prolonger longtemps ; mais tu t'y jettes de trop bonne foi, et je ne veux pas en abuser.George Sand (1804-1876)
Mais tu ne sauras pas, et malgré ce que j'ai vu, il y a dix à parier contre un que ce mariage est un trou dans lequel tu te jettes.Paul Féval (1816-1887)
Je ne peux plus te monter ; papa et maman ont peur que tu ne me jettes par terre.Comtesse de Ségur (1799-1874)
Si tu ne me jettes pas le paquet de chiffons, je te coupe en deux comme une pomme !Paul Féval (1816-1887)
Toujours ce pendard que tu me jettes au nez !Comtesse de Ségur (1799-1874)
Tu jettes pourtant la poésie à pleines mains sur ta peinture, que tes personnages la comprennent ou non.George Sand (1804-1876)
Je n'accepterai pas cette bouchée de pain que tu me jettes comme à un chien.Jules-Paul Tardivel (1851-1905)
Tous nos hommes gisent étendus sur le gazon comme les pommes que tu jettes à tes pourceaux ; j'en rirais en vérité, si je pouvais m'empêcher de pleurer.Walter Scott (1771-1832), traduction Albert Montémont (1788-1861)
Ma sœur, tu te jettes là en une affaire de chair, tu te jettes sur mon désir et tu le saisis à pleine mains.Ernest La Jeunesse (1874-1917)
Si lance jettes et épée tires, à l'eau tu verras comme ton chat vite s'en va.Miguel de Cervantès Saavedra (1547-1616), traduction Louis Viardot (1800-1883)
Tu t'es accoutumée à notre amour, tu l'as accepté, tu ne te jettes plus à lui, tu le continues fidèlement, régulièrement, presque ponctuellement.Ernest La Jeunesse (1874-1917)
Le requin... que tu jettes comme ça par terre ?Paul de Kock (1793-1871)
Si tu jettes plus haut que moi, le quart du château t'appartient.Emmanuel Cosquin (1841-1919)
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