mordis

Je n'aboyai jamais et ne mordis jamais personne.George Sand (1804-1876)

Je me ruai sur lui, je lui arrachai les cheveux, je le mordis à belles dents ; je l'eusse déchiré, si l'on ne m'eût arraché ma proie.Joseph Vilbort (1829-1911)

Je ne voulus pas, elle se fâcha, je mordis ferme.Stendhal (1783-1842)

Je saisis entre mes dents la main qui me retenait, et je la mordis de toutes mes forces.Charles Dickens (1812-1870), traduction Paul Lorain (1799-1861)

Je les mordis si cruellement, qu'elle les retira en poussant un cri de douleur.Eugène Sue (1804-1857)

Je me mordis la lèvre, pour empêcher un spasme qui me montait de la poitrine.Louis Ulbach (1822-1889)

C'était trop fort ; je me mordis les lèvres pour ne pas rire aux éclats.Céleste de Chabrillan (1824-1909)

Mes dents claquaient de colère ; j'aurais pu rire pourtant, d'un rire de sarcasme, de défi ; mais je me mordis la bouche.Louis Ulbach (1822-1889)

Je faisais des efforts inutiles, quand, par une inspiration soudaine, je lui mordis le bras si fort, qu'il poussa un cri et me lâcha.Céleste de Chabrillan (1824-1909)

Je me mordis les lèvres, en sentant que je m'embarquais dans une fausse route.Honoré de Balzac (1799-1850)