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Phrases avec le mot mourais

Si je mourais en laissant des enfants, il serait leur tuteur.Honoré de Balzac (1799-1850)
Je rêvais, j'étais oisif, je mourais de faim, et ne m'en apercevais pas.George Sand (1804-1876)
Je ne mourais pas, j'allais à lui, voilà tout.Alexandre Dumas (père) (1802-1870)
Pense donc, si tu mourais là-bas, loin de nous !Roger Dombre (1859-1914)
Ce matin je mourais de faim, et je n'avais pas un tsin.Judith Gautier (1845-1917)
Malgré ses protestations de tendresse, je me mourais d'effroi... les sanglots me suffoquaient... j'étais à lui... il fallut me résigner...Eugène Sue (1804-1857)
Je vous dis cela pour vous convaincre que si je mourais demain... vos espérances intéressées seraient déçues.Eugène Sue (1804-1857)
Si je mourais ici, abandonné, à qui pourrais-je demander une parole de pitié ?Albert Delpit (1849-1893)
J'ai assez pleuré la première fois, je mourais de honte.Eugène Sue (1804-1857)
D'ailleurs, si je mourais le premier, il n'aurait personne pour le porter sur l'échafaud.Alexandre Dumas (père) (1802-1870)
Je voulais la faire trotter : j'en mourais d'envie.Comtesse de Ségur (1799-1874)
Il me pleurerait si je mourais, il répandrait de vrais larmes.Émile Gaboriau (1832-1873)
Imagines-tu donc que si tu mourais je ne mourrais pas avec toi, ô mon bien-aimé !Hector Malot (1830-1907)
La parole étant inutile entre nous, j'eus recours aux signes, et leur fis comprendre, non sans peine, que je mourais de faim.Edward John Trelawney (1792-1881), traduction Victor Perceval (1835-1887)
Je confiai au padre que je mourais de faim.Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879)
Nierez-vous qu'après m'avoir tiré habilement de l'esprit des détails que je mourais d'envie de vous donner...Alexandre Dumas (père) (1802-1870)
Fort éloignée de penser à tous les bruits de coulisse, je mourais d'inquiétude ; il n'était pourtant pas question d'autre chose.Ida Saint-Elme (1776-1845)
Nous avions été si distraits tout le jour, que nous n'avions pas pensé à prendre la moindre nourriture, et je mourais de faim.Jean Jacques Porchat (1800-1884)
Je mourais de crainte, mais le sacrifice était fait ; les plus grands dangers n'étaient pas faits pour m'arrêter.Stendhal (1783-1842)
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