parfumaient
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Exemples
Phrases avec le mot parfumaient
Le gorgonzola et le stracchino parfumaient la table.Anatole France (1844-1924)
Des myrtes, des grenadiers et des jasmins, plantés dans des pots d'une argile rouge, égayaient et parfumaient cette cour intérieure, éclairée d'un demi-jour tamisé et plein de mystère.Théophile Gautier (1811-1872)
De hautes boiseries, puis des tapisseries revêtaient ces murs ; les dalles étaient couvertes d'une litière de paille d'orge jonchée de fleurs fraîches qui la parfumaient.Maurice Barrès (1862-1923)
S'égayaient, et de thym parfumaient leur banquet.Sébastien-Roch-Nicolas Chamfort (1741-1794)
Des jets d'eau de senteur parfumaient l'air ; le vin, l'hypocras et le lait coulaient de différentes fontaines.Théophile Lavallée (1804-1867)
Des bosquets d'orangers et de citronniers parfumaient l'air ; leurs fruits déjà mûrs se balançaient dans le feuillage, et des coteaux en pente douce étalaient les plus beaux raisins.Ann Radcliffe (1764-1823), traduction Victorine de Chastenay (1771-1855)
Les murs de chaque chambre étaient tapissés de paysages ; des vases remplis des plus belles fleurs ornaient les tables et parfumaient l'air.Ida Saint-Elme (1776-1845)
Les grappes rosées des acacias en fleur parfumaient l'air de leur arome sucré que la songeuse respirait longuement.Paul Bourget (1852-1935)
Des berceaux de chèvrefeuille et de clématite interceptaient le regard des voisins et parfumaient l'air matinal.George Sand (1804-1876)
Des murmures de foule suspendaient enfin ce long silence de douze mois, des gaietés inouïes épanouissaient la physionomie du vieux collège, les tilleuls le parfumaient d'odeurs agrestes.Eugène Fromentin (1820-1876)
Depuis le matin, l'eau de cendre, que parfumaient des racines d'iris, bouillait dans un chaudron, accroché à la crémaillère, au-dessus d'un feu clair de peuplier.Émile Zola (1840-1902)
Nous pouvons comparer ces fleurs du second printemps à celles qui parfumaient nos belles années.Paul Féval (1816-1887)
Les branches parfumaient le vent, qui les balançait doucement.Paul Féval (1816-1887)
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