plissant
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Phrases avec le mot plissant
Il me regarda, puis je le vis fermer les paupières en plissant le front.Paul Bourget (1852-1935)
Il obtient également ces sensations en se grattant la langue, geste qu'il fait quotidiennement, tout en plissant les yeux et en émettant un grognement de satisfaction.Cliniques méditerranéennes, 2004, Nathalie Barabé, Chantal Lheureux-Davidse (Cairn.info)
Coraline apprécie d'ailleurs d'être portée dans les bras : elle manifeste pleinement son contentement en riant de bon cœur et en plissant les yeux.Contraste, 2008, Orianne Legrand (Cairn.info)
À une centaine de mètres en contrebas, on aperçoit effectivement, en plissant les yeux, un point noir qui pourrait être une silhouette sur le rivage.Z : Revue itinérante d'enquête et de critique sociale, 2018, Celia Izoard, Laura Pandelle (Cairn.info)
Puis il souriait, en plissant les yeux, d'un sourire un peu pointu.Robert de la Sizeranne (1866-1932)
L'enfant regarde l'opération et, en plissant le front, montre qu'elle n'a pas compris et ne répond pas à la question (ligne 4).Revue Internationale de l'éducation familiale, 2021, Ivana Bolognesi, Chiara Dalledonne Vandini (Cairn.info)
Tous deux me regardèrent, et moi-même, prenant un petit air candide, je les regardai aussi, en plissant avec ma main droite la jambe droite de mon pantalon.Charles Dickens (1812-1870), traduction Charles Bernard-Derosne (1825-1904)
Et, plissant la ride grasse de son double menton, il inspectait l'ovale intact de son plastron luisant comme de la porcelaine.Fernand Vandérem (1864-1939)
Je tournai la tête, et je vis que le mauser souriait, en plissant ses petits yeux, et qu'il tenait quelque chose sous le bras.Erckmann-Chatrian (1822-1899, 1826-1890)
Le visage du mécontent grimace en montrant les dents et en plissant des yeux venimeux : le contraire du rire.Esprit, 2013, Véronique Nahoum-Grappe (Cairn.info)
À mon retour, je trouvai ma tante occupée à se promener de long en large dans la chambre, ou plissant avec ses doigts les garnitures de son bonnet de nuit.Charles Dickens (1812-1870), traduction Paul Lorain (1799-1861)
On emboucha les morceaux de « véllie » et tous, fermant à demi les yeux, tordant les bajoues, pinçant les lèvres, plissant le front, se mirent à tirer de toute leur énergie.Louis Pergaud (1882-1915)
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