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portais

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Phrases avec le mot portais

Je portais mes yeux de l'un à l'autre, et puis....Charles Dickens (1812-1870), traduction Charles Bernard-Derosne (1825-1904)
Au-dessous du panache (c'est le nom technique), je portais une guirlande de roses blanches qui surmontait un bandeau de perles.Louise-Eléonore-Charlotte-Adélaide d'Osmond Boigne (1781-1866)
J'étais si sûr de les y retrouver encore que, tout machinalement, je portais la main à cette poche.Eugène Chavette (1827-1902)
J'avais arrangé ma vie pour avoir un peu de liberté, et j'en aurais si je me portais bien.George Sand (1804-1876)
Je veux que tu te portes bien, parce que d'abord, moi, si tu ne te portais pas bien, je serais très malheureuse.Victor Hugo (1802-1885)
Comme je portais le sac, le carton à chapeau, le pardessus de mon héros, je marchais un peu derrière, je n'entendais pas tout.Alphonse Daudet (1840-1897)
Vous, mon adorée, qui n'étiez pas encore de ce monde quand je portais déjà l'uniforme !Marie Quinton (1854-1933)
Je lui portais ses repas en cachette et quels repas !Paul Féval (1816-1887)
On me désignait par mon âge et par l'habit que je portais.Miguel de Cervantès Saavedra (1547-1616), traduction Charles Furne (1794-1859)
L'uniforme que je portais devenait lourd à mes épaules.Amédée Achard (1814-1875)
Elle m'a demandé comment je me portais, s'il était bien prudent de sortir déjà.Maurice Fleury (1856-1921)
Dès ce moment, les empreintes que je portais sur mes bras étaient expliquées.Charles Deguise (1827-1884)
La seule chose certaine, c'est que j'y portais un zèle naïf, une entière sincérité.George Sand (1804-1876)
Ils hériteront aussi de l'affection que je portais à leur père.Louis Constant Wairy (1778-1845)
Partout où je trouvais autrefois du charme, j'y portais la teinte sombre de mes pensées.George Gordon Byron (1788-1824), traduction Paulin Paris (1800-1881)
Pourtant, ajouta-t-il, mettant la main sur son sabre, je portais déjà mon droit de passe à mon côté.Victor Hugo (1802-1885)
Partout je portais avec moi mes inquiétudes cruelles.Johann Georg Zimmermann (1728-1795), traduction Xavier Marmier (1809-1892)
Quand je n'en avais pas besoin je le fermais et le portais sous mon bras.Daniel Defoe (1661-1731), traduction Petrus Borel (1809-1859)
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Marjorie Jean 28/10/2024
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