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ressembles

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Phrases avec le mot ressembles

Toi, tu lui ressembles, tu es un épikaures ; aussi je te pardonne, il faut que je te pardonne.Erckmann-Chatrian (1822-1899, 1826-1890)
Tu ressembles en ce moment à l'autruche qui cache sa tête sous son aile et se croit à l'abri du danger parce qu'elle ne le voit pas.Charmes Mérouvel (1832-1920)
Tu ressembles à la terre facile et calme de chez nous qui s'en va, coteaux et vallons, avec des champs et des prés de verdure.Charles-Louis Philippe (1874-1909)
Tantôt mince et recourbée tu glisses dans les espaces comme une galère sans mâture ; ou bien au milieu des étoiles tu ressembles à un pasteur qui garde son troupeau.Émile Hennequin (1858-1888)
Et voilà, par les mains tu ressembles à mon affreuse mère.Hans Christian Andersen (1805-1875)
Tu ressembles à la gorge d'une furie !Victor Hugo (1802-1885)
Théodore, tu ressembles au rouet de la vieille que tu vois là.Jules Janin (1804-1874)
Tu ressembles à un ermite, tu as l'air d'un capucin de baromètre.Jules Vallès (1832-1885)
Jolie créature confiante, tu ressembles à mon ami et tu ne l'es pas.George Sand (1804-1876)
Tu fronces les rides de ton front pour être grave, tu me regardes jusqu'au fond de mes sentiments, alors tu ressembles au médecin, tu es riche et savant.Charles-Louis Philippe (1874-1909)
Tu ressembles à une petite demoiselle, dit-il.Lucie Des Ages (1845-1914)
Tu es de ma taille, on dit que tu me ressembles, va !Jules Janin (1804-1874)
Tu ressembles au dompteur qui se rit de la férocité de ses lions et finit par être dévoré.Charmes Mérouvel (1832-1920)
Et tu ressembles à tout ce qui est de la grâce, à tout ce qui est de la fatalité.Ernest La Jeunesse (1874-1917)
Entre les boucles blondes de ta jeunesse, tu ressembles au soleil du matin.Alphonse de Lamartine (1790-1869)
Oui, papa a raison, tu ressembles bien à un de ces petits paysans qui servent la messe, ici !Georges Eekhoud (1854-1927)
Tu ressembles à cet aveugle qui indiquait les bornes du chemin à son compagnon, possédant deux bons yeux.Émile Zola (1840-1902)
Tu ressembles à ta mère que c'est effrayant.George Sand (1804-1876)
Tu ne te ressembles plus, ta figure a changé de ton et d'expression, tu marches, tu manges, tu dors comme tout le monde.George Sand (1804-1876)
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