viorne
Définition
Exemples
Phrases avec le mot viorne
Ici, on peut admirer des tapis d'ophiopogon planiscapus (herbes noires) et là, d'autres plantes exotiques, différentes acanthes, mais aussi des arbustes fleuris : viornes, viburnum, hydrangeas, bruyère arbustive.Ouest-France, 26/05/2021
C'est pourquoi des essences basses (viorne et bourdaine) ont été intercalées entre les chênes et châtaigniers.Ouest-France, 07/03/2019
Pommiers, poiriers sauvages, tilleuls, charmes, merisiers, viornes, troènes, érables, frênes, noisetiers, cornouillers, néfliers et sureau borderont une partie du domaine.Ouest-France, 11/02/2020
Les uns portaient sur leurs corps noircis et desséchés d'informes lambeaux, d'autres n'avaient pour vêtements que des roseaux liés en botte avec des viornes.Anatole France (1844-1924)
Les plants sont constitués d'arbres de hauts jets (chêne sessile, châtaignier, merisier) et d'arbustes (noisetier sauvage, troène sauvage, viorne obier).Ouest-France, 19/04/2021
À contempler et à sentir : hydrangeas, viornes, érables, lilas, plantes méditerranéennes.Ouest-France, 07/06/2019
Érables sycomores, pommiers sauvages ou viornes sont autant d'essences qui trouveront leur place sur le nouvel espace vert de la ville.Ouest-France, Emmanuelle FRANÇOIS, 21/03/2021
Un peu comme la viorne, cet arbrisseau grimpant à fleurs blanches.Ouest-France, 29/04/2014
La page frontispice encadrée de baguettes ornées de viornes et d'oiseaux sur lesquelles sont posés deux musiciens jouant du tambour et de la vièle est pleine de poésie.Revue de la Bibliothèque nationale de France, 2011, Véronique de Becdelièvre (Cairn.info)
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Dictionnaire universel de Furetière (1690)
Définition ancienne de VIORNE s. f.
Arbrisseau fort flexible qui s'entortille autour des autres arbres. Ses feuilles sont blanches, & semblables à celles de l'orme, toutesfois plus veluës & dentelées alentour, & croissent de deux costez de la branche par noeuds & intervalles, & ont un goust brusque & astringent. Sa fleur est blanche, & faite en bouquet, de laquelle pendent certains grains applatis comme lentilles, qui sont verds au commencement, & puis rouges, & enfin noirs. Ses racines sont quasi à fleur de terre ; & quand elles sont pourries, cuites & broyées, on en fait de la glu à prendre des oiseaux. Ses branches sont si souples, qu'on s'en sert à lier des fagots, à faire des paniers, des berceaux, &c.
Ces définitions du XVIIe siècle, qui montrent l'évolution
de la langue et de l'orthographe françaises au cours des siècles,
doivent être replacées dans le contexte historique et sociétal dans
lequel elles ont été rédigées. Elles ne reflètent pas l’opinion du
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