volai
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Phrases avec le mot volai
Je courrus, ou pour mieux dire, je volai à mon nouveau poste.Charles Nodier (1780-1844)
Je volai à son secours, hélas !Anne Marie de Beaufort d'Hautpoul (1763-1837)
Je volai au secrétaire, mais je trouvai tous les tiroirs ouverts et pas un papier écrit.Pierre Choderlos de Laclos (1741-1803)
Je volai à son secours au moment où la femme la traînait déjà par les cheveux, et je pris en mes bras la pauvre misérable abandonnée.Oliver Goldsmith (1728-1774), traduction Bernard-Henri Gausseron (1845-1913)
Je volai par les escaliers et j'arrivai dans le salon sans être aperçu ni salué par le comte ni par sa femme.Honoré de Balzac (1799-1850)
Cette cage était intacte... je volai dessus...Henri de La Blanchère (1821-1880)
Rapide comme l'éclair, je volai au secours de mes fils menacés.Henri de La Blanchère (1821-1880)
Mon père se précipita au-devant de l'animal, qui l'enlaça dans ses pattes et le broyait dans cet embrassement, lorsque je volai à son secours.Henri-Émile Chevalier (1828-1879)
Je me glissai le long des haies, je volai quelques violettes maigres, qui eurent pour toi un parfum de plus.Émile Zola (1840-1902)
Et je volai, continuant mon voyage d'arbre en arbre, prudemment, car, surtout en forêt, un pauvre oiseau a bien des ennemis et peut rencontrer à chaque pas des embûches mortelles !Henri de La Blanchère (1821-1880)
J'y volai plus vite que l'éclair...Alfred de Musset (1810-1857)
Un matin qu'elle était sur la pelouse devant le château, je volai devant elle et vins presque à ses pieds.Henri de La Blanchère (1821-1880)
Je vis deux fenêtres et volai de l'une à l'autre.Henri de La Blanchère (1821-1880)
Je volai, plutôt que je ne marchai vers la grande forteresse, où je demandai le prisonnier qui m'était si cher.François Guillaume Ducray-Duminil (1761-1819)
J'y volai à l'instant sur les ailes de l'amour.Jean-Paul Marat (1743-1793)
Marthe s'enfuit ; je volai sur ses pas, et, sans savoir comment, je me trouvai assis à ma place habituelle dans la salle à manger.Jules Verne (1828-1905)
Je saisis un canot, des rames, et je volai vers le grab avec la légèreté d'un oiseau.Edward John Trelawney (1792-1881), traduction Victor Perceval (1835-1887)
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