époussetait
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Sentences with the word époussetait
En conséquence, on nettoyait un peu, on époussetait légèrement et on étendait des tapis.Arthur de Gobineau (1816-1882)
Maintenant il ramassait ses effets par terre, les époussetait et se rhabillait sans rien dire, triste, épuisé, essuyant son front, où une mauvaise sueur froide était venue perler.Pierre Loti (1850-1923)
Avec quel soin il époussetait ces jouets que la main lui démangeait de manier, les bateaux surtout – des bateaux de quelques pence.Jules Verne (1828-1905)
L'inspecteur de la sûreté s'était redressé, aussi calme que s'il eût assisté à la scène la plus ordinaire du monde, et soigneusement il époussetait les genoux de son pantalon.Émile Gaboriau (1832-1873)
Il est là depuis trois ans : ses seuls signes d'existence, de réactivité étaient des gestes de la main, il époussetait son pantalon.Revue de psychothérapie psychanalytique de groupe, 2010, Maurice Borgel (Cairn.info)
Mes cheveux, coupés au hasard, tombaient par mèches sur mes épaules, et l'homme au chapeau à trois cornes les époussetait doucement avec sa grosse main.Victor Hugo (1802-1885)
Il s'habillait, faisait son lit, balayait sa chambre, époussetait son fauteuil et le dessus de sa commode.Guy de Maupassant (1850-1893)
Un matin pourtant, alors qu'elle époussetait les meubles, elle s'était interrompue d'un coup.La pensée de midi, 2010, Hyam Yared (Cairn.info)
Le militaire époussetait son pantalon blanc sur le seuil du marchand de tabac.Paul Adam (1862-1920)
Elle lui tortillait un bouton de gilet ; elle époussetait ses revers à coup de mignonnes chiquenaudes ; elle finit par l'entraîner dehors.René Boylesve (1867-1926)
Elle n'était point close et s'ouvrit : à l'intérieur un gardien menait grand bruit, époussetait les tentures, frottait les meubles.Marcel Boulenger (1873-1932)
Blaise était devant la grille ; il époussetait et nettoyait quand son père rentra.Comtesse de Ségur (1799-1874)
A l'aide d'un petit balai de plume, il époussetait avec soin ses beaux vases de porcelaine, ses hideux magots, ses laques, ses soieries.Hector Berlioz (1803-1869)
Ses grandes oreilles nacrées et mobiles qu'il époussetait sans cesse, ses cabrioles pleines de fantaisies avaient, je dois l'avouer, une part de mon admiration.Jules Michelet (1798-1874)
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