frissonnaient
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Sentences with the word frissonnaient
De petits nuages blancs frissonnaient dans le ciel pâle.Émile Zola (1840-1902)
Les tôles des chaudières frissonnaient sous la pression de la vapeur.Jules Verne (1828-1905)
Le temps était calme et le vent presque nul ; ainsi qu'on pouvait s'en convaincre en examinant les feuilles des arbres qui frissonnaient à peine.Henry de Graffigny (1863-1934)
En ce temps-là, les matins étaient doux et limpides, les feuilles vertes frissonnaient innocemment sous la brise légère.Anatole France (1844-1924)
Puis il se remit en marche, et ses épaules s'affaissaient, frissonnaient, tandis qu'une plainte s'exhalait de sa bouche.Joseph Henri Rosny (1856-1940)
D'autres magies l'attendaient à la rive d'un lac marginé de porphyre où frissonnaient, dans le centre du jardin, des reflets de ciel.Louis Mullem (1836-1908)
Ils frissonnaient des mêmes frissons ; leurs cœurs, dans une espèce de fraternité poignante, se serraient aux mêmes angoisses.Émile Zola (1840-1902)
Des filles frissonnaient sur le seuil des épiceries.Marcel Schwob (1867-1905)
Des moires frissonnaient sur la robe de satin, blanche comme un clair de lune.Gustave Flaubert (1821-1880)
Les consciences inquiètes frissonnaient, les honnêtetés les plus sûres d'elles redoutaient le coup de balai général.Émile Zola (1840-1902)
Ils frissonnaient à se tenir ainsi, ils semblaient près de s'évanouir.Émile Gaboriau (1832-1873)
Nos âmes libres, désemprisonnées, se hissaient au dehors et frissonnaient doucement.Jules Renard (1864-1910)
Il y en eut qui pleurèrent ; les vieux frissonnaient et se mordaient les lèvres.Victor Hugo (1802-1885)
Il s'agenouilla pour border ma robe autour de mes jambes qui frissonnaient.Paul Féval (1816-1887)
Dans le silence, frissonnaient mille bruits, ces chuchotements, ces soupirs profonds de la terre à son réveil.Émile Zola (1840-1902)
Les grands arbres du jardin qui frissonnaient mollement s'arrêtèrent.Gustave Flaubert (1821-1880)
Alors les feuilles, légèrement agitées par des courants électriques, frissonnaient sur leurs tiges... puis tout retombait dans le silence, dans une immobilité morne.Eugène Sue (1804-1857)
Son cœur battait haut, sa respiration était haletante, ses membres frissonnaient et il allait toujours devant lui, sans dévier de sa route.Henri-Émile Chevalier (1828-1879)
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