oublier + fatigue
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Sentences with the word oublier + fatigue
Considérés comme stimulants ou palliatifs, ils permettent de faire face aux dangers et d'oublier la fatigue.Autrepart, 2009, Michèle Cros, Quentin Mégret (Cairn.info)
Et, brusquement, il eut un geste de joie ; il courut derrière cet homme, oubliant sa fatigue.Émile Zola (1840-1902)
Gaston, émerveillé, oubliait la fatigue et ne cessait d'interroger son guide, qui, tout en se moquant de ses naïvetés, lui répondait avec complaisance.Lucien Biart (1828-1897)
Une journée qui s'éternise dans les transports au lendemain d'un combat tendu et âpre, sans la victoire pour faire oublier la fatigue.Ouest-France, 25/09/2017
À la vue de tant de choses belles et nouvelles pour moi, j'oubliais la fatigue et la faim, qui reprenaient bien vite leurs droits.Eugène Viollet-le-Duc (1814-1879)
Les gouttes cristallines qui retombaient sur son dos, en coulant du haut de l'acacia, lui faisaient oublier la fatigue et pousser des grognements de satisfaction.Mayne Reid (1818-1883), traduction Émile Gigault de La Bédollière (1812-1883)
Et les deux rameurs appuyant sur les avirons oubliaient la fatigue à la vue de la terre.Ernest Capendu (1826-1868)
Bientôt la magnificence du spectacle qui se déroulait sous mes yeux me fit oublier ma fatigue.Amédée Achard (1814-1875)
Le dimanche, ils s'enivrent au cabaret pour oublier les fatigues d'hier et celles de demain.Eugène Sue (1804-1857)
Tous, debout, frémissaient, oubliant leur fatigue : pourquoi ne marchait-on pas ?Émile Zola (1840-1902)
Cette gaie lumière avait fait oublier les fatigues précédentes.Augustine Fouillée (1833-1923)
Elle se traînait avec peine, mais semblait oublier sa fatigue pour égayer l'enfant par ces agaceries que les mères seules savent trouver.Émile Souvestre (1806-1854)
Son corps énorme oubliait la fatigue, comme son esprit oubliait la pensée.Alexandre Dumas (père) (1802-1870)
Comme l'ensemble de l'équipe, la fibre écolo et la bonne ambiance manifeste lui fait vite oublier la fatigue de l'exercice.Ouest-France, Bertrand GUILLOT, 12/10/2015
Il prit le soin, par sa bonne chère et par ses bons lits, de nous faire bientôt oublier ces fatigues.Louis-Balthazar Néel (1695-1754)
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