vent + balayer
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Sentences with the word vent + balayer
Je me souvenais du jour où le dégoût et la honte avaient balayé mon premier amour de ma mémoire, comme le vent balaie l'écume des flots.George Sand (1804-1876)
Le vent balayait la neige à mesure qu'elle tombait.Pierre Duchaussois (1878-1940)
Ses continuels désirs y flambaient, un petit souffle de ses lèvres changeait l'or en une cendre fine que le vent balayait à chaque heure.Émile Zola (1840-1902)
Il n'y a plus d'autres chansons des bois que le grésillement des feuilles tombées que le vent balaie.George Sand (1804-1876)
Dispersée tout à coup comme les feuilles que le vent balaie en tourbillon, elle se sépara pleine d'anxiétés et d'alarmes.George Sand (1804-1876)
Moins qu'un fétu que le vent balaie...Émile Gaboriau (1832-1873)
Dans cette solitude du soir et de l'automne, où le vent balayait les dernières feuilles, il éprouva plus que jamais le désir d'avoir fini sa vie et l'impatience du tombeau.Georges Rodenbach (1855-1898)
C'est simplement une grande terre à pâturages de moutons, ou la bise souffle avec âpreté et que le vent balaie.Arthur Conan Doyle (1859-1930), traduction Albert Savine (1859-1927)
Déjà, la foudre lointaine grondait, tandis que des souffles de vent balayaient les routes.Émile Zola (1840-1902)
De longues vagues de vent balayaient l'aire immense, maintenant déserte, où s'était heurtée, naguère, la cohue de toutes les nations.Marcel Prévost (1862-1941)
Au tournant de la rue le vent balayait la poussière et sa bouche avide engouffrait tout l'espace.Journal Français de Psychiatrie, 2009, Martine Coenen (Cairn.info)
Le vent balaie sans obstacle ces routes alignées et larges comme les allées qui divisent les compartiments d'un camp.Astolphe de Custine (1790-1857)
Un coup de vent balaie le stade stabilisé, les enfants chassent le sable de leurs yeux.Ouest-France, 20/04/2021
Un coup de vent balaya les sables.Paul Féval (1816-1887)
Tout cela n'est qu'un rêve : attendons le réveil ; tout cela n'est que de la poésie que le moindre vent balayera comme des fanes d'automne...Pétrus Borel (1809-1859)
La mémoire, le discernement, toutes les nobles facultés de l'intelligence, si déliées en toi, se troublèrent et s'effacèrent comme les nuages qu'un coup de vent balaie.Albert le Roy (1856-1905)
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