berthe
définitions
berthe
nom féminin
vieux Large col arrondi (vêtement féminin).
anciennement Récipient de métal pour le lait.
exemples
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En savoir plus.
Berthe, qui a tout pouvoir sur l'empereur son frère, obtient de lui qu'il donne un grand tournoi, où elle espère du moins voir briller la valeur du chevalier qu'elle aime.Pierre-Louis Ginguené (1748-1816)
Berthe entre donc : elle est accompagnée d'un vieux laboureur qui lui a donné le bras, et dont les cheveux blancs et la figure vénérable inspirent le respect.François Guillaume Ducray-Duminil (1761-1819)
Berthe regardait son mari, toute surprise de ce changement extraordinaire dans son accent, dans ses manières.Eugène Sue (1804-1857)
Berthe, égarée de surprise et soulevée de joie, se laissa glisser du lit, courut vers la chaise, prit ses bas, ses jarretières, sa chemise...Pierre Louÿs (1870-1925)
Berthe reposa sa tête sur l'épaule du vieillard, et de temps en temps elle serra ses mains dans les siennes par un mouvement convulsif.Eugène Sue (1804-1857)
Berthe, excellente artiste, donnait des leçons de piano ; grâce à ces ressources, le père et la fille vivaient à peu près dans l'aisance.Eugène Sue (1804-1857)
Berthe, plus forte, essayait de se débattre, s'efforçant de secouer les torpeurs de l'épouvante qui l'envahissait.Émile Gaboriau (1832-1873)
Berthe allait fort rarement dans le monde ; malgré sa tristesse, elle regardait avec une curiosité d'enfant les personnes qui arrivaient dans les loges, puis retombait dans de pénibles préoccupations.Eugène Sue (1804-1857)
Berthe, à qui vous avez cru parler, est depuis quelque temps détenue au lit par une infirmité.Jacques Cazotte (1719-1792)
Berthe, très tranquille, recevait les éloges ; et elle ne quittait pas le piano, attendant que sa mère la relevât de sa corvée.Émile Zola (1840-1902)
Berthe regretta d'avoir veillé si tard ; une fois pour toutes son mari lui avait expressément défendu de l'attendre ; ses gens même se couchaient.Eugène Sue (1804-1857)
Berthe, qui avait achevé son pain, trempait un doigt dans le verre, pour finir son sirop.Émile Zola (1840-1902)
Berthe s'empressait, offrant des sandwichs, portant des tasses de thé, demandant aux hommes s'ils voulaient qu'on les sucrât davantage.Émile Zola (1840-1902)
Berthe, toujours placée près de son frère, était chargée de le contenir d'un regard, lorsqu'il promenait par trop ses doigts dans la sauce.Émile Zola (1840-1902)
Berthe, d'abord heureuse de sa chambre en thuya et en soie bleue, s'était ensuite montrée pleine de dédain, après une visite chez une amie, qui épousait un banquier.Émile Zola (1840-1902)
Berthe, rappelée à elle-même par ces paroles, frémit de son imprudence, et regretta malheureusement trop tard l'émotion qu'elle n'avait pu cacher.Eugène Sue (1804-1857)
Berthe, pour faire honneur à ses hôtes, avait fait disposer ce petit pavillon de la même manière que lorsqu'elle l'habitait.Eugène Sue (1804-1857)
Berthe lui dit que ce qu'il lui reste à raconter n'est pas long, et elle continue ainsi.François Guillaume Ducray-Duminil (1761-1819)
Berthe vient ensuite : celle-ci a le port, les traits, la voix de son père ; elle a aussi son courage, car elle est son image vivante.Amédée Thierry (1797-1873)
Berthe perdue, il ne voyait aucun but vers lequel se diriger, il n'avait plus de raison de vivre.Émile Gaboriau (1832-1873)
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