empira
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Phrases avec le mot empira
Ce que je lui appris empira tellement sa maladie, qu'il fut saisi d'une fièvre ardente ; elle dura un mois environ.Eugène Sue (1804-1857)
Il confessa son homme ; le mal empira, il lui administra les derniers sacrements.Denis Diderot (1713-1784)
Depuis quelque temps déjà elle se plaignait de sa vue ; bientôt le mal empira et un de ses yeux fut sérieusement compromis.Gaston Maugras (1850-1927)
Avec la fin de novembre, cet état de choses empira.Jules Verne (1828-1905)
Au mois de février, la situation empira, le manque de nourriture et les grands froids avaient fait de grands ravages.Le Monde Juif, 1972, Georges Wellers (Cairn.info)
En quelques secondes létat des choses empira de telle façon que les fugitifs neurent même plus le temps de délibérer.Gustave Aimard (1818-1883) et Jules Berlioz d'Auriac (1820-1913)
Le soir, la fièvre le prit, et son état empira sensiblement.Marie-Louise-Victoire de Donnissan La Rochejaquelein (1772-1857)
Elles réduisirent les taux d'intérêt quand la crise empira, à la fin de 2008 et au début de 2009.Revue d'économie financière, 2011, Ibrahima Soumare (Cairn.info)
Quand la famine commença à se développer, au début de l'année 1921, la situation empira.Guerres mondiales et conflits contemporains, 2021, Martine Mespoulet (Cairn.info)
Par sa propre force, elle empira.Hippolyte Taine (1828-1893)
Quand il vit qu'il s'était trompé, il s'imagina devoir être humilié par cette destinée florissante, et sa mélancolie maladive empira.George Sand (1804-1876)
Son mal empira vers la fin du mois.René Boylesve (1867-1926)
Pendant les deux siècles suivants, le mal empira encore, par cette pente des choses humaines qu'on y peut observer dans tous les temps.Pierre-Louis Ginguené (1748-1816)
Dans la nuit elle empira tellement qu'il fallut avoir recours au médecin.Joseph Marmette (1844-1895)
Hélas, le soir même, l'état de mon amie empira tellement que toute visite de ce genre apparut bien désormais devoir arriver trop tard.Paul-Jean Toulet (1867-1920)
Il n'eut pas la main heureuse : ce médecin empira la blessure par ses remèdes.George Sand (1804-1876)
Son état empira et le médecin, appelé aussitôt, ne jugea pas qu'il fût possible, malgré le courage qu'elle montrait, de repartir avant un mois.Oscar Méténier (1859-1913)
Le lendemain 5 décembre, le mal empira de telle sorte que l'on comprit qu'il était sans remède et que la fin approchait.André Le Glay (1814-1894)
Au bout de quelques jours, son état empira et elle dut rester dans le service de longs mois intubée et ventilée, ne pouvant se passer de la machine.Figures de la psychanalyse, 2021, Catherine Vanier (Cairn.info)
Bien lui en prit, car vers une heure du matin, le mal empira et prit d'inquiétantes proportions.Oscar Méténier (1859-1913)
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