soupa
Formes
Exemples
Phrases avec le mot soupa
Il avait faim, il soupa, puis après souper il se coucha.Alexandre Dumas (père) (1802-1870)
On se mit à table, on soupa de bon appétit ; on causa un peu et on se coucha, comme l'avait dit le général.Comtesse de Ségur (1799-1874)
Il soupa de manière à effrayer son geôlier, qu'il força de boire avec lui à la santé de la marquise.Alexandre Dumas (père) (1802-1870)
Albert prit son bain, soupa et se coucha.Alexandre Dumas (père) (1802-1870)
Ce fut chez lui qu'elle soupa et logea.Charles Athanase Walckenaer (1771-1852)
On soupa, on but sec, et chacun gagna sa chambre.Alexandre Dumas (père) (1802-1870)
La chanoinesse soupa, ou feignit de souper, dans la chambre de son frère.George Sand (1804-1876)
Le soir on soupa, et puis le bal.Madame de Sévigné (1626-1696)
Cette fois, le marquis soupa vite et sans plaisir.George Sand (1804-1876)
On soupa ; j'allai me coucher comme à l'ordinaire.Mayne Reid (1818-1883), traduction Henriette Loreau (1815-1883)
On soupa, le salon transformé en une sorte de restaurant de nuit ; et les femmes, vraiment, par leur attitude, complétaient la ressemblance.Marcel Prévost (1862-1941)
La journée s'écoula dans l'obscurité de cette maison fermée et on ne soupa point.George Sand (1804-1876)
La petite troupe s'y blottit, soupa, et, la fatigue aidant, s'endormit presque aussitôt.Jules Verne (1828-1905)
On soupa, et gaiement comme tu penses bien.Denis Diderot (1713-1784)
On soupa ; il ne s'y passa rien de remarquable ; on y but beaucoup et on n'y mangea pas moins.Paul Scarron (1610-1660)
Il soupa dans les restaurants de nuit où, après boire, on se jette les bouteilles à la tête.Émile Gaboriau (1832-1873)
C'est donc avec raison qu'on donne à ce festin le nom dou gros soupa.Alphonse Chabot (?-1921)
Puis elle soupa aussi, avec sa mère, à l'autre bout de la cuisine.Guy de Maupassant (1850-1893)
Comme la soirée était superbe, on soupa dans le jardin.Ann Radcliffe (1764-1823), traduction François Soulès (1748-1809)
Elles vinrent pour la plupart ; on soupa splendidement, et le bal commença vers dix heures du soir.Miguel de Cervantès Saavedra (1547-1616), traduction Louis Viardot (1800-1883)
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