calmer + soif
exemples
Phrases avec le mot calmer + soif
Chacun en reçoit un litre, c'est toujours ça pour calmer la soif.Revue d'histoire de la Shoah, 2002, Michel Pachter (Cairn.info)
On permettait des boissons pour calmer la soif, et on n'exigeait pas une diète absolue, parce que l'abstinence n'avait pas moins d'inconvénients que la surcharge de l'estomac.Charles Anglada (1806-?)
Il engage un échange avec les élèves à partir d'une remarque d'une élève : calmait sa soif ça fait bizarre.Recherches en didactiques, 2017, Jean-Noël Blocher, Loïs Lefeuvre (Cairn.info)
La sensation se transforme significativement en appel à l'autre, en accueil en soi de l'autre comme de l'eau qui calmera la soif, bref, elle se transforme en amour.Sociétés, 2007, Panagiotis Christias (Cairn.info)
Enfin la consultation se borna à ordonner quelques tasses d'infusion de feuilles d'oranger pour calmer la soif ; on verrait le lendemain ce qu'il serait convenable de faire.Louise-Eléonore-Charlotte-Adélaide d'Osmond Boigne (1781-1866)
Chacun ne songe qu'à une seule chose : où trouver un morceau de pain pour calmer la faim, où trouver un peu d'eau pour calmer la soif.Revue d'histoire de la Shoah, 2001, Zalmen Gradowski (Cairn.info)
Il ne se repose que pour attraper une mûre, une poire sauvage et des prunelles qui resserrent la bouche, blanchissent les lèvres et calment la soif.Jules Renard (1864-1910)
Puis il se coucha, avec une douleur intolérable à l'occiput ; et il but une carafe d'eau, pour calmer sa soif.Gustave Flaubert (1821-1880)
Puis, on a mis à ma disposition de quoi calmer ma soif et ma faim jusqu'à l'heure où je serai délivré.Jules Verne (1828-1905)
En première lecture de cet épisode, la nuance peut sembler minime entre buvait ou calmait sa soif.Recherches en didactiques, 2017, Jean-Noël Blocher, Loïs Lefeuvre (Cairn.info)
Mais les cactus suffiront-ils à calmer la soif des hommes et des bêtes pendant trois ou quatre jours ?Mayne Reid (1818-1883), traduction Allyre Bureau (1810-1859)
Quand le fruit eut apaisé sa fièvre et calmé sa soif brûlante, il se sentit un peu mieux, et se mit à causer.Ann Radcliffe (1764-1823), traduction Victorine de Chastenay (1771-1855)
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