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cépée

définition

Définition de cépée ​​​ nom féminin

Sylviculture Touffe de jeunes tiges de bois, de rejets qui sortent d'une souche.

synonymes

Synonymes de cépée nom féminin

exemples

Phrases avec le mot cépée

Par une belle nuit d'été elle pouvait très bien coucher en plein air, à l'abri d'un arbre ou d'une cépée.Hector Malot (1830-1907)
Il s'en alla vers la forêt [et] se glissa sous une double cépée issue d'un même tronc, un olivier sauvage et un olivier cultivé.La pensée de midi, 2003, Costanza Ferrini (Cairn.info)
Elle s'assit à l'ombre d'une cépée de châtaignier, et, s'allongeant, elle posa sa tête sur son bras, comme elle faisait chaque soir pour s'endormir.Hector Malot (1830-1907)
Tout cela présupposant l'intime connaissance des schistes et des grès cambriens, des tourbières et des cresta, des amphithéâtres et des alluvionnements en pente douce, des gaulis et des cépées.Medium, 2011, Régis Debray (Cairn.info)
Mais, en regardant avec plus de soin à travers les troncs d'arbres et les cépées, on découvrait un individu assis auprès d'un des feux.Mayne Reid (1818-1883), traduction Allyre Bureau (1810-1859)
L'arbre possède un tronc divisé en trois (cela s'appelle une cépée) et impressionne par sa taille et son envergure.Ouest-France, Pierre COLLAS, 11/08/2017
Un peu plus loin, un cri bien connu frappa mon oreille, et deux coqs faisans qui venaient de partir d'une cépée s'envolèrent à tire-d'aile.Amédée Achard (1814-1875)
Ces vallons sont séparés par des landes et par des futaies à cépées de houx.François-René de Chateaubriand (1768-1848)
Ce rempart, hérissé de cépées d'osiers et de bouleaux, est déchiré de distance en distance par les affluents du grand fleuve.Astolphe de Custine (1790-1857)
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Dictionnaire universel de Furetière (1690)

Définition ancienne de SEPÉE s. f.

Touffe de plusieurs arbres qui ont poussé d'un même tronc ou racine. Voilà cinq ou six chesnes assez gros qui ne font qu'une même sepée. Il faut avoir soin d'arracher d'un pré les aulnes qui viennent en sepées, car en peu de temps elles occupent la moitié du pré.
Ces définitions du XVIIe siècle, qui montrent l'évolution de la langue et de l'orthographe françaises au cours des siècles, doivent être replacées dans le contexte historique et sociétal dans lequel elles ont été rédigées. Elles ne reflètent pas l'opinion du Robert ni de ses équipes. En savoir plus.
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