perdre + affection
exemples
Phrases avec le mot perdre + affection
Toutefois, massivement, les enquêtés indiquent avoir été motivés positivement – pour mériter la reconnaissance – et non négativement, par la crainte de perdre l'affection de leurs parents.Les Sciences de l'éducation - Pour l'Ère nouvelle, 2005, Pierre Merle (Cairn.info)
Celui qui est dans la honte se sent dévalorisé et craint non seulement de perdre l'affection de ceux qu'il aime, mais même toute manifestation d'intérêt de qui que ce soit.Dialogue, 2010, Didier Drieu, Régine Scelles (Cairn.info)
Ils peuvent perdre l'affection, l'honneur, la considération, le statut, etc.Revue d'histoire des sciences humaines, 1999, Laurent Mucchielli (Cairn.info)
Elle le savait si porté à régler ses faveurs sur ses sentiments qu'elle pouvait tout perdre, en perdant son affection.Jean Hippolyte Mariéjol (1855-1934)
Orio parlait ainsi devant moi, parce qu'il avait entendu dire que vous aviez perdu mon affection pour n'avoir pas voulu me promettre de ne point retourner à la guerre.George Sand (1804-1876)
Pour cet aîné, l'image de la toute-puissance parentale ébranlée, la crainte de perdre l'affection des parents et, en conséquence, la difficulté à exprimer son agressivité pourront engendrer angoisse et dépression.Enfances &PSY, 2014, Françoise Selmi (Cairn.info)
La réticence à manier l'autorité tient à la peur de perdre l'affection de l'enfant.Revue de la Société Française de Gestalt, 2013, Chantal Masquelier-Savatier (Cairn.info)
La barrière infranchissable qu'elle avait élevée entre elle et le prince, son mari, lui avait fait perdre l'affection qu'il lui avait montrée jusque-là.Régis de Chantelauze (1821-1888)
La crainte révérencielle repose, quant à elle, sur l'affection et la peur de décevoir ou de perdre l'affection.L'Année canonique, 2009 (Cairn.info)
Le journaliste ne put retenir une larme : il perdait une affection sincère, illimitée.Honoré de Balzac (1799-1850)
Philippe avait consenti à perdre son nom, mais il ne consentait pas à perdre l'affection du vieillard.Albert Delpit (1849-1893)
Je la mènerais à sa perte et je perdrais son affection !Fedor Dostoïevski (1821-1881), traduction J.-W. Bienstock (1868-1933) et Charles Torquet (1864-1938)
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