plaisir infini
Exemples
Phrases avec les mots plaisir infini
J'ai eu des plaisirs infinis en faisant ma connaissance.Honoré de Balzac (1799-1850)
Vous me faites un plaisir infini de me l'envoyer ; je suis très sûr qu'elle ne m'ennuiera pas.Voltaire (1694-1778) et Frédéric II de Prusse (1712-1786)
N'empêche que j'aurais eu tout à l'heure un plaisir infini à vous massacrer.Louis Reybaud (1799-1879)
De par son impossible saisie, il nourrirait le désir, attiserait la pensée, serait désir de plaisir infini, lui-même sans fin.Germanica, 2019, Eliane Beaufils (Cairn.info)
Car, une fois encore, elles promettent un monde libidineux, un monde de péché et de plaisir infini qui est hors de portée de la majorité.Le débat, 2002, Ian Buruma, Avishai Margalit (Cairn.info)
Je n'en ai pas moins eu un plaisir infini à me retrouver chez moi avec tous ceux que j'aime.George Sand (1804-1876)
On prend un plaisir infini à flotter au-dessus du sol et à observer les différents astres autour de soi.Ouest-France, Marion BARGIACCHI, 15/07/2021
Mais, ne vous gênez pas pour émettre vos idées : je prends un plaisir infini à vous entendre.Gustave Aimard (1818-1883) et Jules Berlioz d'Auriac (1820-1913)
J'ai prêté mon théâtre avec un plaisir infini, trop heureux de voir l'auguste princesse qui...Alfred de Vigny (1797-1863)
J'aurais un plaisir infini – vous entendez, infini – à les raconter si je n'avais des amis, de charmants amis, parmi les fidèles de ces grotesques.Hermine Lecomte du Noüy (1854-1915)
L'effet obtenu est un plaisir infini (ou cauchemardesque) puisqu'il ne dépend que de l'extérieur, de la diversité des partenaires.La Revue Lacanienne, 2007, Marie Jejcic (Cairn.info)
Ils se revirent avec un plaisir infini.Gaston Maugras (1850-1927)
Ses gestes me séduisaient, sa voix me ravissait, toute sa personne me faisait un plaisir infini à regarder.Guy de Maupassant (1850-1893)
J'y reviens tous les ans, à l'automne, avec un plaisir infini ; je la quitte avec regret.Guy de Maupassant (1850-1893)
Mille objets auxquels ceux-ci prennent un plaisir infini lui semblent insipides et répugnants.Arthur Schopenhauer (1788-1860), traduction Jean Alexandre Cantacuzène (1829-1897)
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