requiers
Formes
formes de requérir
- présent de l'indicatif – 1re personne du singulier
- présent de l'indicatif – 2e personne du singulier
- impératif présent – 2e personne du singulier
exemples
Phrases avec le mot requiers
Et c'est au nom de la justice que, dès ce moment, je requiers le concours de vos lumières.Émile Gaboriau (1832-1873)
Je demande à ce qu'il soit mis en lieu sûr jusqu'à ce que cette affaire soit éclaircie et je vous requiers en votre qualité de magistrat d'exécuter votre mandat.Arthur Conan Doyle (1859-1930), traduction Albert Savine (1859-1927)
C'est pourquoi je requiers à titre personnel votre indulgence pour tout ce que je vous ai fait subir.Europarl
Le plus instamment que je puisse, je requiers qu'on me laisse cet habit que je porte, et qu'on me laisse ouïr la messe sans le changer.Anatole France (1844-1924)
Messieurs les gardiens de la paix, je ne vous requiers pas.Ernest La Jeunesse (1874-1917)
Écoutez les choses qui me sont mandées ; puis, conseillez-moi, je vous en requiers, puisque vous me devez le conseil.Joseph Bédier (1864-1938)
Je requiers votre indulgence car je dois prendre connaissance de la réponse avant de revenir, le cas échéant, sur la question avec vous.Europarl
Selon que l'expérience m'en a apprins, je requiers d'une femme mariée, au dessus de toute aultre vertu, la vertu oeconomique.Clarisse Bader (1840-1902)
Je requiers d'ailleurs que le tout soit revu avec soin sur le manuscrit.George Gordon Byron (1788-1824), traduction Paulin Paris (1800-1881)
À la première marque d'approbation ou d'improbation, déclara-t-il, je requiers les gendarmes et je fais retirer tout le monde.Émile Gaboriau (1832-1873)
Devant les hommes de ta terre, je te requiers de m'admettre à me défendre en ta cour.Joseph Bédier (1864-1938)
Conseillez-moi donc, je vous en requiers, vous qui me devez le conseil.Joseph Bédier (1864-1938)
Je requiers donc que l'accusé soit immédiatement contraint de parler par tous les moyens possibles.Eugène Sue (1804-1857)
Je requiers en sa faveur votre bienveillance personnelle et votre patronage.George Gordon Byron (1788-1824), traduction Paulin Paris (1800-1881)
C'est mon honneur qui est à votre discrétion en ce moment ; de gentilhomme à gentilhomme, je vous requiers de le respecter.Charles de Bernard (1804-1850)
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