secouaient
Formes
exemples
Phrases avec le mot secouaient
A sa gauche des êtres aux corps de léopards, aux faces effroyables, remuaient des chaînes rougies au feu et secouaient des serpents furieux.Judith Gautier (1845-1917)
Les terribles cris dans la rue secouaient tout le monde.Revue d'Histoire de la Shoah, 2014, Maurice Pfeffer (Cairn.info)
Alors qu'ils n'étaient pas encore nés, ils secouaient de leurs discordes internes les entrailles maternelles.Nouvelle revue théologique, 2018, Anne-Claire Favry (Cairn.info)
Ces travaux secouaient l'optimisme officiel quant à l'avenir de la société industrielle en faisant voir que la production vorace en énergie de biens matériels détruit implacablement la nature.Esprit, 2010, Jean Robert, Thierry Paquot (Cairn.info)
Mais les vieux réfléchissaient et secouaient la tête.Hector France (1837-1908)
Mais elle n'étonna personne, elle apparut comme désolidarisée des événements qui secouaient le centre hospitalier.Revue de psychothérapie psychanalytique de groupe, 2014, André Ciavaldini (Cairn.info)
Le taudis s'emplit de fumée et de flammes ; les six mégères secouaient leurs brandons.Paul Féval (1816-1887)
Les trains passaient, secouaient les verres sur la table ; mais aucun des convives n'y faisait même attention.Émile Zola (1840-1902)
Quelques hommes se secouaient, d'autres ne bougeaient point.Guy de Maupassant (1850-1893)
Ils se sont, pour la plupart, inscrits comme acteurs et non comme simples témoins des drames qui secouaient leur pays.Politique africaine, 2016, Idriss Terranti (Cairn.info)
La particularité de ces conflits qui secouaient hier encore la planète c'est qu'ils sont devenus des conflits fermés.Les Cahiers de l'Orient, 2008, Antoine Sfeir (Cairn.info)
Sous la main de ces braves gens qui serraient et secouaient si amicalement la mienne, était la main de mon père.Émile Gaboriau (1832-1873)
Entre le clergé et l'archevêque, marchaient à reculons de jeunes garçons qui secouaient les encensoirs, et de jeunes filles qui effeuillaient des roses.Alexandre Dumas (père) (1802-1870)
Sous l'épaisse couche de fard du comte, on discernait sa pâleur livide, et, à chaque moment, des tressaillements nerveux le secouaient.Émile Gaboriau (1832-1873)
Afficher toutRéduire
Ces exemples proviennent de sites partenaires externes. Ils sont sélectionnés automatiquement et ne font pas l'objet d'une relecture par les équipes du Robert. En savoir plus.