sourire charmant
Exemples
Phrases avec les mots sourire charmant
Elle resta longtemps pensive devant sa glace, oubliant de relever ses cheveux épars ; ses joues étaient animées, et un sourire charmant l'embellissait encore.George Sand (1804-1876)
Ce chef était un beau jeune homme, aux cheveux bouclés naturellement, à l'œil profond et mélancolique, à la lèvre sérieuse, au sourire charmant et grave.Pierre Ponson du Terrail (1829-1871)
En dépit de l'âge et de la petite vérole, son visage est resté beau : de grands cils, un regard de femme, un sourire charmant, l'air d'un prince.Alphonse Daudet (1840-1897)
Elle reprit bientôt ses forces et rassura tout le monde avec un sourire charmant.Edmond About (1828-1885)
Un sourire charmant écartait ses lèvres.Gustave Flaubert (1821-1880)
Très joli homme ; les yeux petits, par exemple, mais une très jolie bouche, des dents superbes et un sourire charmant.Mademoiselle George (1787-1867)
Des sourires charmants l'effrayaient, car il les prévoyait grotesques dans le plaisir.Fernand Vandérem (1864-1939)
Elle n'entend plus ; elle écoute à peine ; elle n'a pour tout que ce sourire charmant qui vaut mieux que tout et qu'elle met par-dessus tout.Jules Barbey d'Aurevilly (1808-1889)
Alors elle lui tendit la plume, et, avec un sourire charmant, encouragea sa main, qui traça vite les mots désignés.Alexandre Dumas (père) (1802-1870)
Ses yeux vivaient, sa bouche pensait, prête à parler, et parmi l'austère noblesse de ses traits on devinait ce sourire charmant sans s'épanouir jamais.Paul Féval (1816-1887)
Le jeune homme portait une moustache fine et soyeuse qui laissait voir un sourire charmant.Albert Delpit (1849-1893)
C'est une belle jeune femme, qui dissimule son vécu émotionnel derrière un sourire charmant.Actualités en analyse transactionnelle, 2016, Valérie Perret (Cairn.info)
Juliette la tendit avec un sourire charmant.Alfred Assollant (1827-1886)
Un sourire charmant éclaira ses traits.Daniel Lesueur (1854-1921)
Sa bouche avait un sourire charmant – et terrible.Paul Mahalin (1838-1899)
C'est une femme jeune et belle, parée des dons de la fortune et de la nature, qui, nonchalamment couchée sur une ottomane, accueille le jeune homme avec un sourire charmant.Paul de Kock (1793-1871)
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