nana
définitions
nana
nom féminin
familier Jeune fille, jeune femme. Les mecs et les nanas. C'est sa nana, son amie, sa compagne.
synonymes
nana nom féminin
→ fille
exemples
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En savoir plus.
Nana devait tenir son chapeau à deux mains pour qu'il ne fût pas enlevé, tandis que ses jupes flottaient avec des claquements de drapeau.Émile Zola (1840-1902)
Nana, que fâchait le manque d'entrain de ses convives, s'était mise à parler très haut.Émile Zola (1840-1902)
Nana, qui ne comprenait rien aux paroles chuchotées par le comte, n'osa pourtant demander de nouvelles explications.Émile Zola (1840-1902)
Nana s'était renversée de nouveau, allumant encore une cigarette, pendant que les autres pinçaient les lèvres par discrétion, pleines de philosophie.Émile Zola (1840-1902)
Nana tolérait tout, tremblante, caressante, avec la seule peur de ne plus le voir revenir, si elle lui adressait un reproche.Émile Zola (1840-1902)
Nana, qui se déshabillait, demanda à sa mère si la robe de la demoiselle du second, qu'on avait mariée le mois dernier, était en mousseline comme la sienne.Émile Zola (1840-1902)
Nana eut encore là une grosse déception, elle qui se figurait quelque chose de très vaste, une machine monumentale pour peser les chevaux.Émile Zola (1840-1902)
Nana, dominée, effarée, se hâta de prendre dans le secrétaire l'argent qui leur restait, et de l'apporter devant lui.Émile Zola (1840-1902)
Nana s'indignait, la consolait, jurait de la tirer de là, quand elle devrait elle-même aller trouver le ministre.Émile Zola (1840-1902)
Nana dormait sur le ventre, serrant entre ses bras nus son oreiller, où elle enfonçait son visage tout blanc de sommeil.Émile Zola (1840-1902)
Nana, quand son père l'avait giflée, demandait furieusement pourquoi cette rosse n'était pas restée à l'hôpital.Émile Zola (1840-1902)
Nana, qui commençait à se fâcher, disait de son grand air que ce n'était guère convenable.Émile Zola (1840-1902)
Nana le regardait fixement de ses yeux clairs, le menton dans la main, un pli ironique aux lèvres.Émile Zola (1840-1902)
Nana, qui justement lui avait acheté ce chapeau pour ne plus rougir d'elle, lorsqu'elle l'emmenait, faillit se fâcher.Émile Zola (1840-1902)
Nana, furieuse, continuait : elle ne voulait pas qu'on lui parlât sur ce ton, elle avait l'habitude d'être respectée.Émile Zola (1840-1902)
Nana passait, pareille à une invasion, à une de ces nuées de sauterelles dont le vol de flamme rase une province.Émile Zola (1840-1902)
Nana contemplait avec ravissement la plaine immense sous le ciel gris, où de gros nuages s'amoncelaient.Émile Zola (1840-1902)
Nana se traînait, empochait toujours des tatouilles de son père, s'empoignait avec sa mère matin et soir, des querelles où les deux femmes se jetaient à la tête des abominations.Émile Zola (1840-1902)
Nana le trouva si drôle, la bouche ouverte, le nez remuant à chaque ronflement, qu'elle fut secouée d'un fou rire.Émile Zola (1840-1902)
Nana dut relever sa robe en passant devant une borne-fontaine, dont le robinet mal fermé inondait les dalles.Émile Zola (1840-1902)
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